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Rencontre publique

M. WERNER HERZOG

Son parcours est aussi l’un des plus originaux. Il débute sa longue carrière en 1962. Son premier long métrage, Signes de vie, est diffusé en France en 1969. Mais on le découvre véritablement grâce à Aguirre, la colère de Dieu, avec Klaus Kinski dans le rôle titre. Herzog est dès lors considéré comme un « génie du cinéma allemand ». Une longue série de succès critiques commence, de L’énigme de Kaspar Hauser (1974) jusqu’à Fitzcarraldo (1982) en passant par Nosferatu, fantôme de la nuit (1978). Après Fitzcarraldo, le silence se fait autour du réalisateur. Pourtant, entre 1982 et 2005, Herzog ne tourne pas moins de 23 films. Parmi eux, seuls Échos d’un sombre empire (1990), consacré à Bokassa, et Ennemis intimes (2000), hommage à Klaus Kinski, bénéficieront d’une sortie nationale en France. Ainsi, il faut pratiquement attendre 2005 avant d’entendre à nouveau véritablement parler de Werner Herzog, et ce grâce à Grizzly Man. Depuis les films de Herzog sont régulièrement diffusés, que ce soient des fictions (Bad Lieutenant, 2008) ou des documentaires (Into The Abyss, 2012). Le talent particulier de Herzog est de savoir, en toutes circonstances, trouver les images appropriées aux histoires qu’il raconte. C’est ce qui fait de lui un cinéaste exceptionnel.

Durée :

Rencontre publique avec le cinéaste Werner Herzog

Le

PEGE - Amphi 4, Strasbourg

Université de Strasbourg

WERNER HERZOG, NÉ EN 1942 EN ALLEMAGNE, EST AUJOURD’HUI CONSIDÉRÉ COMME L’UN DES MAÎTRES INCONTOURNABLES DU 7e ART

Son parcours est aussi l’un des plus originaux. Il débute sa longue carrière en 1962. Son premier long métrage, Signes de vie, est diffusé en France en 1969. Mais on le découvre véritablement grâce à Aguirre, la colère de Dieu, avec Klaus Kinski dans le rôle titre. Herzog est dès lors considéré comme un « génie du cinéma allemand ». Une longue série de succès critiques commence, de L’énigme de Kaspar Hauser (1974) jusqu’à Fitzcarraldo (1982) en passant par Nosferatu, fantôme de la nuit (1978). Après Fitzcarraldo, le silence se fait autour du réalisateur.

Pourtant, entre 1982 et 2005, Herzog ne tourne pas moins de 23 films. Parmi eux, seuls Échos d’un sombre empire (1990), consacré à Bokassa, et Ennemis intimes (2000), hommage à Klaus Kinski, bénéficieront d’une sortie nationale en France.

Ainsi, il faut pratiquement attendre 2005 avant d’entendre à nouveau véritablement parler de Werner Herzog, et ce grâce à Grizzly Man. Depuis les films de Herzog sont régulièrement diffusés, que ce soient des fictions (Bad Lieutenant, 2008) ou des documentaires (Into The Abyss, 2012).

Le talent particulier de Herzog est de savoir, en toutes circonstances, trouver les images appropriées aux histoires qu’il raconte. C’est ce qui fait de lui un cinéaste exceptionnel.

http://www.werner-herzog.unistra.fr

Thème(s) : Arts et Culture

Lettres, Arts, Langues et Civilisations, Sciences humaines, sociales, de l’éducation et de l’information

Producteur : Université de Strasbourg

Réalisateur : Colloques et Conférences

Programme

Rencontre publique

M. WERNER HERZOG

Son parcours est aussi l’un des plus originaux. Il débute sa longue carrière en 1962. Son premier long métrage, Signes de vie, est diffusé en France en 1969. Mais on le découvre véritablement grâce à Aguirre, la colère de Dieu, avec Klaus Kinski dans le rôle titre. Herzog est dès lors considéré comme un « génie du cinéma allemand ». Une longue série de succès critiques commence, de L’énigme de Kaspar Hauser (1974) jusqu’à Fitzcarraldo (1982) en passant par Nosferatu, fantôme de la nuit (1978). Après Fitzcarraldo, le silence se fait autour du réalisateur. Pourtant, entre 1982 et 2005, Herzog ne tourne pas moins de 23 films. Parmi eux, seuls Échos d’un sombre empire (1990), consacré à Bokassa, et Ennemis intimes (2000), hommage à Klaus Kinski, bénéficieront d’une sortie nationale en France. Ainsi, il faut pratiquement attendre 2005 avant d’entendre à nouveau véritablement parler de Werner Herzog, et ce grâce à Grizzly Man. Depuis les films de Herzog sont régulièrement diffusés, que ce soient des fictions (Bad Lieutenant, 2008) ou des documentaires (Into The Abyss, 2012). Le talent particulier de Herzog est de savoir, en toutes circonstances, trouver les images appropriées aux histoires qu’il raconte. C’est ce qui fait de lui un cinéaste exceptionnel.